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1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 18:35

Comme beaucoup, je consomme au petit déjeuner cette fameuse pâte à tartiner au chocolat dont je tairai le nom sous peine de me voir exfiltrer d’urgence et torturer par mes ex-coachs de Weight Watchers (« Pas la balance ! Pitié ! Pas la balaaaance !!! »). Et cette (mauvaise) habitude me pose un très sérieux problème… car bien que nous soyons capables d’aller sur la Lune, de retrouver un assassin avec un seul de ses cheveux, de transmettre des données à la vitesse de la lumière, de remplacer un cœur, de construire des tours de plus en plus hautes et que sais-je encore… personne n’a réussi (pensé ?) à simplifier l’ouverture de ce fichu pot en verre.

Des générations entières qu’on s’échine à ôter cet opercule (pour une fois qu’une calamité est masculine) en papier plastifié qui, même avec la plus grande précaution, se déchire irrémédiablement entre les doigts.

Même aidé d’un couteau, il faut s’y reprendre à plusieurs fois pour parvenir à un résultat plus que médiocre avec, au final, toujours des fragments plus ou moins longs qui restent collés sur les bords. On perd son temps en même temps que sa patience, sans compter que question hygiène, c’est limite en particulier lorsqu’on racle le surplus d’un couteau (même s’il est plus probable que ledit couteau soit léché et ce, en dépit des règles de sécurité les plus élémentaires).

 

Et c’est pareil pour pas mal de friandises… Par exemple, les paquets de biscuits ou de chewing-gums que l’on retourne 6 fois avant de trouver une pseudo-languette qui se détache avant qu’on ait pu accéder au graal et que, souvent, on finit par éventrer. Ou les sucettes, véritables forteresses imprenables, dont on arrache le plastique avec les dents (double peine avant la visite chez le dentiste).

Quand par-dessus le marché votre gosse (mal élevé, il faut bien le dire) chouine parce que ça ne va pas assez vite, vous maudissez un peu plus ces « emballages-prisons » et leurs concepteurs (ils ont certainement dû s’y mettre à plusieurs pour imaginer ces machins-là) !

 

A bien y réfléchir, de nombreuses préparations salées présentent les mêmes déficiences : gâteaux apéritifs, plats préparés, … lequel d’entre nous ne s’est jamais heurté à une boîte de conserve réticente ?

 

Il n’y a ainsi pas plus mensonger que la mention « ouverture facile »… et je ne vous parle pas des suremballages (il faut affronter une quantité infinie de pellicules plastiques – entreprise plus éreintante que les 12 travaux d’Hercule – avant d’atteindre la nourriture) ou de ceux (soi-disant) refermables (mais qu’on n’a pas vu au départ et qu’on a complètement déchirés ou qui ne collent pas à autre chose qu’à nos doigts) !

 

 

Mais que font les services recherche et développement ? Ils boivent le thé avec des petits gâteaux ou quoi ?

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 21:52

D’aussi loin que je me souvienne, ma mère a toujours emprunté à la sagesse populaire plusieurs expressions qui sont devenues au fil des années de véritables leitmotivs.

La langue française est en effet riche de ces petites phrases parfois drôles, souvent imagées, faisant quelquefois référence à l’histoire… et qui ont toutes en commun de décrire en quelques mots, souvent avec une rare justesse, une pensée, un sentiment, une action ou un événement.

 

Parmi ces concentrés d’être humain, l’expression qui m’a sans aucun doute le plus marquée est : « la beauté ne se mange pas en salade ». Il m’a fallu du temps pour l’apprécier et en comprendre tout le sens.

Adolescente, j’ai ainsi vainement tenté de prouver le contraire en rembourrant mes soutiens-gorge de coton et en passant des heures devant le miroir convaincue que, si l’habit ne fait pas le moine, la beauté (notion par ailleurs toute relative) est le must du bonheur.

Aujourd’hui, sans nier l’importance de l’image, j’ai bien compris qu’il valait mieux faire envie que pitié.

 

Autre fétiche maternel : « Caresse de chiens, ça donne des puces », phrase qu’elle ne manquait jamais de lancer lorsque je me laissais aller à un câlin pourtant exempt de toute arrière-pensée.

Enfant, je trouvais cette expression particulièrement injuste aussi bien pour moi que pour tous les représentants de la race canine dont l’hygiène était irréprochable. Aujourd’hui que je suis moi-même maman, je le vois sous un jour nouveau et constate avec quel naturel ma progéniture essaie de me manipuler, l’amour en bandoulière.

 

Et que dire du sempiternel « il faut souffrir pour être belle » rabâché à chaque (douloureux) démêlage des cheveux ? Est-ce l’application au pied de la lettre du fameux qui aime bien châtie bien ?

Pourtant, bien que je la trouve injuste et cruelle (et un brin machiste), il m’arrive fréquemment de répéter cette phrase à ma fille lorsqu’elle pleurniche parce que « Môman, ça tire les cheveux ! ».

 

Ainsi, usant de cette dernière expression, mais également de plusieurs autres parmi lesquelles : « chaque chose en son temps », « avec des amis comme toi, on n’a plus besoin d’ennemis » ou « on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif », je perpétue la tradition familiale.

 

 

Car comme dirait ma mère : « les chiens ne font pas des chats ».

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 22:40

Aujou'd'hui, il m'est arrivé un truc incroyable... quelque chose dont j'avais déjà entendu parler, que certains proches avaient même expérimenté mais que moi, jusqu'à présent, je n'avais pas vécu, ni même approché.

- Vous dites ? Si je me suis mise au ski (ou n'importe quel autre sport de glisse) et que j'y prend du plaisir ? Il ne s'agit pas d'un miracle non plus...

 

Malédiction ou malchance, j'avais fini par me résigner et me dire que ça ne m'arriverait jamais.

- Pardon ? Si j'ai réussi à me taire pendant plus de 2 heures ? A part la nuit (et encore) ou en cas d'angine aiguë, impossible.

 

Et puis, là, comme ça, sans que je m'y attende, sans l'ombre d'un signe avant coureur, c'est arrivé !

Quoi, vous demandez-vous, fébriles... C'est vrai que je suis douée pour ménager le suspense... je devrais écrire des scénarios de séries américaines... ah non, mauvaise idée, il faut maîtriser un minimum l'anglais pour ça... et vu que je n'ai même pas réussi à demander où sont les toilettes à un londonien (heureusement, le mime est universel), ça ne va pas le faire...

Ok, ok j'y viens.

Eh bien figurez-vous qu'aujourd'hui, à 20 heures à peine, j'ai fait toutes - je dis bien toutes (et même plus encore) - les choses que je m'étais fixées en me levant ce matin que ce soit au boulot ou à la maison.

 

D'aussi loin que je me souvienne, moi, la reine des listes et des post-it, je n'étais jamais arrivée au bout de mes objectifs / pronostics - il est vrai souvent optimistes - repoussant systématiquement une partie au lendemain générant ainsi un sentiment permanent de frustration mêlé d'abattement prématuré face aux tâches reportées et nouvelles à venir.

A la fac déjà, au moment des révisions, je finissais toujours les 2 derniers jours à la bourre à ne pouvoir lire que les titres du restant de mes cours. Lorsque je prépare à manger, il y a toujours un plat qui saute au dernier moment (comme en général j'en prévois 12, mes convives ne restent pas affamés bien longtemps). Au bureau, je hiérarchise, je trie, j'anticipe mais rien n'y fait, y'a toujours un truc qui vient déranger mon beau programme.

 

Une bordélique (presque) assumée, une optimiste patentée et une frustrée permanente !

Et depuis l'arrivée des enfants, ça ne s'était pas vraiment arrangé...

 

Qu'a-t-il bien pu se passer de différent aujourd'hui ? Aurais-je bâclé certaines choses ? Une faille spatio temporelle aurait-elle aspiré tous les éventuels troubles fêtes de ma journée ? Aurais-je acquis un nouveau super pouvoir ? Saurais-je enfin m'organiser correctement et de façon réaliste ? Serais-je en train de virer maniaque, style Bree Van De Kamp dans Desperate Housewifes ?

 

A la fois agréable et déstabilisante, cette expérience me laisse avant tout perplexe. Je ne sais pas si j'ai envie que ça recommence. C'est tellement éloigné de ce que je connais. En même temps, c'est rassurant de savoir que tout n'est pas figé.

 

 

- Comment ? Si je ne suis jamais contente ? Oui, c'est vrai... mais ne le dites surtout pas à Choupinou !

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3 janvier 2014 5 03 /01 /janvier /2014 21:55

... bien des questions devraient trouver une réponse :

- la courbe du chômage aura-t-elle vraiment été inversée ?

- à quel âge le prince Georges va-t-il faire ses premiers pas ?

- qui va gagner les jeux olympiques d'hiver de Sotchi ?

- quelle nouvelle expression inspirée et riche de sens va remplacer le "Nan, mais allô quoi" de Nabilla ?

- April va-t-elle repartir avec Jackson ?

- etc...

 

En attendant, je vous souhaite à toutes et à tous le meilleur pour l'année à venir !

 

voeux 2014

 

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24 novembre 2013 7 24 /11 /novembre /2013 22:55

Dernière phrase du livre "Une vie" de Maupassant (figure scolaire imposée), je voulais au départ vous faire partager cette citation : "La vie, voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit".

C'est tellement vrai... mais en même temps un peu tristoune surtout avec le froid et le mauvais temps actuels, sans compter la morosité ambiante et les lumières de Noël qui tardent à s'allumer... bref, j'ai finalement opté pour une autre phrase de Maupassant que j'ai trouvée... dans une papillote ! Une papillote que mon fils a mangé bien sûr. Tous ceux qui ont lu mon précédent post savent que je ne n'y ai pas droit (pas envie de me faire enguirlander par la Chantal !). Et comble de l'ironie, ça cause de gourmandise... si je fais une fixette ? Nooooooooon.

 

Gourmandise

 

 

 Source illustration : http://www.coramaedesign.com/more_cupcakes.html 

 

 

 

 

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 17:13

Non, non, ceci n’est pas un sigle cabalistique, témoin de mon appartenance à une secte aux desseins obscurs. Quoique… Il ne s’agit pas non plus d’un hommage appuyé à un ancien président américain. Oh que non !

 

Le fait est qu’en raison d’un mimétisme grandissant avec mes amies les baleines, curieusement protégées par un panda - celui de la célèbre WWF (World Wide Fondation) - j’ai décidé de me prendre en main en intégrant, il y a un peu plus de 2 mois, le programme WW (Weight Watchers) et sa fameuse méthode à base de points (vous n’en avez jamais entendu parler… nan  mais allô ?). De WWF à WW, il n’y a en effet qu’un pas - ou une lettre - qu’il me fallait absolument franchir.

Une occasion en or pour Choupinou de faire un calembour : « Ben qu’est-ce que tu vas leur dire ? Bonjour je m’appelle Neige et je voudrais fondre un p’tit peu ? ».

 

C'est ainsi que je me rends, chaque mardi, à ce que j’appelle tendrement ma réunion des GA (« Grosses Anonymes »). Mais attention ! J’arrête tout de suite quiconque oserait penser à un régime car avec WW, on « réapprend à manger », ça n’a rien à voir !

 

Première étape du rituel hebdomadaire : la pesée. Derrière un paravent, chaque aspirant à la ligne svelte (eh oui, il y a aussi quelques hommes) monte sur la balance comme sur l'échafaud. Pour atténuer la sentence, chacun y va de son petit truc : jeûner le jour J, faire pipi ou changer de chaussures juste avant la pesée, ôter tout ce qu’il est possible dans les limites de la décence (gilet, bijoux, montre, châle,...)… c'est la course au délestage. S'ils le pouvaient, certains n'hésiteraient certainement pas à se faire amputer d’un organe ou d’un membre. Tiens, maintenant que j’y pense, mes orteils ne me servent à rien.

 

S'ensuit alors une séance de coaching de groupe version « Les kilos, c’est tabou, on en viendra tous à bout ! ». A la manœuvre, Chantal, animatrice du groupe, assistée de Muriel, chargée de la paperasse (les prénoms ont bien entendu été modifiés pour préserver leur anonymat). Il faut la voir, la Chantal, nous saluer à l’entrée d’un tonitruant : « Bonjour Mesdames ! », surveiller d’un œil inquisiteur les chiffres de la balance (« Raaah, vous avez repris 400 g cette semaine ») et nous faire la leçon, pendant plus d’½ heure, fiches en main.

Preuve vivante de l’efficacité de la méthode, elle n’hésite pas à nous marteler les fondamentaux : « 5 fruits et légumes par jour », «  Faites du sport », « Il faut absolument manger son bol alimentaire journalier » et consorts.

Véritable entraineuse (au sens sportif du terme), elle nous distille ses conseils avisés, bien souvent frappés au coin du bon sens mais si difficiles à mettre en pratique (vous cuisinez tous vos repas, vous ?). Elle nous rappelle également les devises de la maison : « Stylo en main, kilos en moins ! ». Sans oublier de nous inviter gentiment à acheter la panoplie estampillée WW. Cependant, sous son apparente bonhomie, il est un truc qui la fait sortir de ses gonds la Chantal : le bruit. Soit que son appareil auditif soit mal réglé, soit qu’elle aime à capter toute l’attention de son auditoire, gare au coup de semonce si vous bavardez un peu trop bruyamment au fond de la classe… euh pardon de la salle !

Enfin, malgré une certaine maladresse - elle a un jour lancé à une compatriote du genre très enrobé : « Tout le monde aimerait être comme vous »… Mmmh, non - et une incapacité patente à retenir le moindre prénom (« Alors Isabelle, qu’est-ce que vous en pensez ? » « – Euh moi c’est Martine ») son enthousiasme est communicatif et elle n’a pas d’égal dans l'évocation des petits tracas du quotidien - la constipation par exemple - à grands renforts de mimiques dont elle détient le secret.

 

Sa bonne humeur et ma perte avérée de plusieurs kilos ont ainsi fort heureusement eu raison de mes pulsions chroniques de meurtres survenant en particulier au moment du gouter des enfants, au cours des repas entre amis ou en famille, devant l’étal de la boulangerie, lorsque mon collègue se boulote un monstrueux hamburger… bref, un peu tout le temps.

Mais à part ça, je vous assure, je ne suis pas au régime… Allez, soyez gentils, faites au moins semblant de me croire.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 16:31

Je n’aime pas les anniversaires. Les miens bien sûr. Ceux des autres, pas de soucis. C’est bien simple, je ne sais même pas quel âge j’ai. Si par hasard on me le demande, je prends un air pénétré et fait un calcul du genre : 1979 + 20 = 1999 + 10 = 2009 ; 2013 – 2009 = 4 : 34 !

 

C’est une façon de faire l’autruche comme une autre.

 

Pourtant, certains signes ne trompent pas.

 

Le plus évident : le reflet dans le miroir. Une vision quotidienne dont l’horreur peut être facilement décuplée par quelques vieilles photos.

Et nous ne sommes pas, nous les femmes, à armes égales avec les hommes… Je vous ferai grâce du chapitre féministe, mais force est de constater que la pression est moins forte pour eux. Regardez tous ces acteurs plus beaux avec un peu de bouteille que jeunots : Sean Connery, Georges Clooney, Lambert Wilson… Rien qu’au niveau des cheveux blancs : aucun risque que cela rende une fille sexy. En revanche, un homme…

 

Ensuite, je m’entends de plus en plus souvent évoquer des événements ayant 15 ans et plus (j’ai toujours 16 ans dans ma tête). Je compte ainsi quelques amies rencontrées à la fin des années 80. Vous savez, cette décennie du siècle dernier prolifique en tests capillaires (personne n’a oublié la coupe « mulet ») et en épaulettes géantes ?

 

Autre signe impossible à ignorer : les toujours plus nombreux « Madame » prononcé à mon encontre… quand on y ajoute mon nom de femme mariée, il m’arrive de me retourner pour chercher ma belle-mère des yeux.

Et quand cela vient d’adultes de plus de 20 ans, ça fait mal. Très mal.

A ce sujet, je n’oublierai jamais la mine perplexe de notre voisine (étudiante infirmière) lorsque nous l’avons invitée à l’apéro un soir. Sa bouteille de bière à la main, elle nous a timidement demandé si elle devait prendre un verre pour boire. Ben voyons, mets aussi des patins pour ne pas abimer le parquet et parle un peu plus fort car on n’entend rien !!!

 

Avec les enfants, c’est encore pire : aucune chance d’oublier le temps qui passe.

Au gala de danse de Louloute, j’ai ainsi demandé à la prof si c’est bien la chanson de Bryan Adams (so « nineties » !) en fond de l’une des chorégraphies intitulée « Robin des Bois ».

« Non, c’est M. Pokora » m’a-t-elle répondu, étonnée. Elle ne doit pas connaître Bryan Adams.

 

Mais le pire reste tout de même ce qui s’est déroulé il y a quelques semaines, lorsque Louise a réalisé un dessin de moi. Elle a représenté mon visage en gros plan sur fond vert (l’herbe) avec un grand sourire. Jusque-là, tout va bien. Puis j’ai remarqué un drôle de gribouillis au-dessus des yeux. Ma fille m’a alors expliqué, avec force petits gestes évocateurs et en plissant le front, qu’il s’agissait de tous les « traits » qui me traversent le front. Ci-dessous l’objet du délit.

 

Et dire que cela ne fait que commencer…

 

untitled

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 12:54

C'est sans grande surprise et sans déception que je vous annonce que je n'ai rien gagné au dernier concours créatif organisé par le site istockphoto (voir ici). Comme dirait l'autre, l'important est de participer. Il faut dire aussi que le niveau était très bon et certaines idées à méditer...

 

Voici la proposition du gagnant, à la victoire amplement méritée :

 

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Et ci-dessous, quelques propositions qui m'ont également bien plu, voire interpellée :

 

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Celui-ci est très girly : 

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Et enfin un dessin en Noir et Blanc :

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 21:01

Quand je m'intéresse à un sujet et que je veux en cerner les principaux aspects, deux préalables me semblent essentiels : examiner ce que le dictionnaire (et son extension sur les moteurs de recherche) raconte et voir ce que les autres en ont dit ou en disent, les citations étant souvent des petits bijoux de justesse tantôt drôles, tantôt émouvants.

 

A travers mes lectures (de moins en moins nombreuses...) il m'arrive par ailleurs de rester en arrêt devant une phrase dont la vérité, la beauté ou les deux à la fois résonnent en moi comme une révélation. C'est le cas de la citation ci-dessous que je vous ai mise en image. Je l'ai découverte à l'adolescence et la retiens depuis... difficile en effet d'oublier un amour de jeunesse... 

 

ours

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 14:22

Comme je l'avais déjà fait il y a 2 ans autour du thème de la Saint Valentin (voir ici), je viens juste de participer à un concours créatif organisé par le site istockphoto sur le thème : "Dieu créa l'Homme à son image. Et vous, vous créez quoi ?".

Le principe : proposer 1 ou 2 créations en utilisant au moins un des fichiers sur la centaine proposée.

 

Le moins que l'on puisse dire c'est que l'inspiration n'a pas été immédiate sur ce thème... Néanmoins, la référence à l'homme, même avec un grand H, a tout de suite fait vibrer la fibre féministe en moi. J'ai donc décidé de prendre le contrepied de l'image habituel du créateur. Voici ma (modeste) proposition :

 

crea naije concours istockphoto

Evidemment, je me suis bien gardée d'aller voir ce que les autres avaient fait avant de déposer ma proposition et bien m'en a pris car il y a des choses vraiment très réussies et très inspirées... Jugez par vous-mêmes en cliquant ICI

Peut-être y trouverez vous un petit goût de paradis !

 

Résultats après le 25 avril... 

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De Quoi Ça Cause ?

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